J’ai apprécié le témoignage du professeur Gérald Boutin, car il a su rappeler le rôle primordial du maître dans cette situation complexe de l’acte pédagogique. L’école est une mini-société où les maîtres, pris individuellement, et le corps professoral de l’école dans son ensemble, sont incontournables. Cela dit, les élèves entrent en contact avec des adultes qui ont la responsabilité du rapport complexe maître-élèves, soit du processus fondamental « enseignement-apprentissage».
Les propos qu’il tient sur le socioconstructivisme sont justes. Par exemple, vouloir soumettre la discipline de l’histoire et son enseignement à des choix éducatifs sociaux prescriptifs vient en contradiction avec la discipline historique et la formation de la pensée chez les élèves à cette dimension essentielle de la vie qui est le temps. Le professeur Boutin a raison d’insister sur le rôle des maîtres dans leurs rapports aux élèves mais aussi quant à leur fonction d’enseignants face aux apprentissages à faire acquérir en fonction des objets d’études eux-mêmes.
En ce moment, la question de l’enseignement de l’histoire pose problème. Le moins qu’on puisse dire, le socioconstructivisme (comme procédé pédagogique exclusif) imposé aux enseignant(e)s n’est adéquat ni à l’objet de l’histoire ni à la méthodologie historique ni, par surcroît, à l’apport éducatif singulier de la discipline historique à la connaissance du passé humain et du temps historique.
Pour un complément d’information, voir les deux articles qui suivent.
Félicitations au professeur Boutin pour ses réflexions sur l’éducation et le témoignage sur sa vie. Éventuellement, il serait intéressant de l’entendre sur son rapport à la lecture et l’écriture mais, surtout, sur ce qu’il aime écrire spontanément.
Bruno Deshaies
J’ai apprécié le témoignage du professeur Gérald Boutin, car il a su rappeler le rôle primordial du maître dans cette situation complexe de l’acte pédagogique. L’école est une mini-société où les maîtres, pris individuellement, et le corps professoral de l’école dans son ensemble, sont incontournables. Cela dit, les élèves entrent en contact avec des adultes qui ont la responsabilité du rapport complexe maître-élèves, soit du processus fondamental « enseignement-apprentissage».
Les propos qu’il tient sur le socioconstructivisme sont justes. Par exemple, vouloir soumettre la discipline de l’histoire et son enseignement à des choix éducatifs sociaux prescriptifs vient en contradiction avec la discipline historique et la formation de la pensée chez les élèves à cette dimension essentielle de la vie qui est le temps. Le professeur Boutin a raison d’insister sur le rôle des maîtres dans leurs rapports aux élèves mais aussi quant à leur fonction d’enseignants face aux apprentissages à faire acquérir en fonction des objets d’études eux-mêmes.
En ce moment, la question de l’enseignement de l’histoire pose problème. Le moins qu’on puisse dire, le socioconstructivisme (comme procédé pédagogique exclusif) imposé aux enseignant(e)s n’est adéquat ni à l’objet de l’histoire ni à la méthodologie historique ni, par surcroît, à l’apport éducatif singulier de la discipline historique à la connaissance du passé humain et du temps historique.
Pour un complément d’information, voir les deux articles qui suivent.
QU’EST-CE QUE L’HISTOIRE ?
Est-ce un cours de civisme ?
Apprendre l’histoire, est-ce de la philosophie sociale ?
Est-ce une pédagogie uniforme de socioconstructivisme ?
14 décembre 2013, par Bruno DESHAIES
Sources : http://www.vigile.net/Qu-est-ce-que-l-histoire et http://www.vigile.net/pour-un-enseignement-adequat-de-l
Félicitations au professeur Boutin pour ses réflexions sur l’éducation et le témoignage sur sa vie. Éventuellement, il serait intéressant de l’entendre sur son rapport à la lecture et l’écriture mais, surtout, sur ce qu’il aime écrire spontanément.